Les médecins libéraux ont été exclus de la réflexion et de la gestion sanitaire de la syndémie COVID 19.
L’URPS Médecins Libéraux de la région PACA a décidé de constituer un groupe de travail pour mener une réflexion et une analyse indépendantes factuelles de cette syndémie.
La vague des 46 000 Tweets reçus en l’espace de 12 heures qui a occasionné un espace d’invectives au lieu d’un lieu de débat serein argumenté a suscité la décision de rééditer ce 1er chapitre consacré aux masques.
Visiblement, notre intention n’a pas été comprise et/ou mal expliquée : chaque développement est argumenté d’une source fiable officielle (lien s’y rapportant) et nous attendions de même de votre part dans cet échange.
Le groupe de travail reste donc attentif à toute argumentation sourcée lui permettant de faire évoluer sa réflexion : merci de bien vouloir expédier vos critiques constructives à l’adresse email suivante : secretariat_covid@urps-ml-paca.org
LEXIQUE :
- ANSM : Agence Nationale de Sécurité du Médicament
- CépiDc INSERM : Centre d’épidémiologie sur les causes médicales de Décès de l’INSERM
- DREES : Direction de le Recherche, des Etudes, de l’Evaluation et des Statistiques
- EPI-PHARE – Groupement d’intérêt scientifique (GIS) ANSM-CNAM
- HAS : Haute Autorité de Santé
- HCSP : Haut Conseil de Santé Publique
- HSE : Health and Safety Executive
- INSEE: Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques
- INSERM : Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale
- INRS : Institut National de Recherche et de Sécurité
- OMS : Organisation Mondial de la Santé
- SPF : santé Publique France
UN AUTRE REGARD ?
Celui de médecins libéraux
Sans a priori
Sans idées reçues
Parfois dérangeant
Toujours argumenté
Faites-vous votre propre idée et échangez
Le GT « COVID lecture critique » vous propose d’échanger sur l’analyse de la crise sanitaire COVID 19 rédigée en 5 chapitres
- Maillage des masques et diamètre du virus COVID 19 :
- Maille des masques = 3 000 nanomètres
- Diamètre du virus = 60 à 140 nanomètres
- 2 interprétations successives pour leur efficacité (sans en apporter de preuve scientifique) :
- virus inclus dans gouttelettes plus grosses de 5 à 15 microns de diamètre (donc intérêt hypothétique uniquement pour la transmission)
- diffusion par aérosol
- Les masques ne filtrent en moyenne que 60% des aérosols entre 0.02 et 2 micromètres de diamètre
- Conclusion : incohérence entre les données physiques et l’efficacité des masques
- Etudes sur le port de masques :
- Aucune étude pertinente concernant le virus COVID 19
- Revue d’études Cochrane (67 études pertinentes retenues) de mai 2020 sur le virus de la grippe (diamètre de 8 à 120 nanomètres) : le port de masque ne permet pas de diminuer le nombre de cas de syndrome grippal
- INRS : concernant les masques FFP2 de mai 2022 : « quelle que soit la forme du visage et le modèle choisi, moins d’1% des essais d’ajustement réalisés ont été réussis »
- HSE d’avril 2022 : mêmes conclusions
- HCSP de janvier 2022 : « Parmi les masques grand public, les valeurs d’efficacité varient de 15,6 à 33,8 % pour une respiration d’intensité moyenne. Les efficacités des masques à usage médical variaient de 17,4 à 28,3 % pour le même cycle respiratoire »
- Conclusion : études défavorables à l’intérêt du port de masque
- Efficacité en vie réelle du port du masque :
- SPF: aucune inflexion des courbes de transmission
- Changement de masque toutes les 4 heures non observé
NB : heureusement pour l’environnement car rapports sociaux en moyenne de 12 heures par jour = 3 masques par jour X 8 milliards d’individus = 24 milliards de masques par jour, soit sur 2 ans pollution par 17 520 milliards de masques.
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- Décès liés à la COVID en 2020 & 2021 en France :
- CépiDc INSERM : 146 000 certificats de décès portant la mention COVID
- INSEE: 130 000 décès COVID
- INSEE: 95 000 décès en plus des décès attendus
- Conclusion : incohérence des données officielles
- Relativisation du nombre de décès supplémentaires par rapport à la surmortalité des 10 années précédentes :
- INSEE: surmortalités comparables à 2015 & 2016 (41000 en 2015 et 35000 pour 2016) imputées aux conditions climatiques et à la grippe
- Relativisation du nombre de décès par rapport à d’autres étiologies au niveau mondial :
- OMS : le cancer tue 10 millions de patients par an
- OMS : le tabac tue au moins 8 millions de fumeurs par an
- OMS: la pollution de l’air tue au moins 7 millions de personnes par an
- OMS : l’obésité tue 2,8 millions de personnes par an
- OMS: la Covid 19 aurait été responsable de 14,9 millions de décès pour les années 2020 & 2021
- DRESS: le taux de mortalité des patients hospitalisés en France pour grippe entre 2014 et 2019 est comparable à celui des patients hospitalisés pour COVID entre le 01/03/20 et le 30/06/21
- Efficacité de la « vaccination » sur les décès :
- INSEE: pas de baisse significative de la mortalité en 2021 (population vaccinée) par rapport à 2020 (population non vaccinée)
- A priori : les personnes fragiles décédées en 2020 auraient de plus dû entrainer une baisse de décès en 2021
- INSEE: en 2021 le nombre de décès observé par rapport au nombre attendu est supérieur à celui de 2020 jusqu’à 75 ans, et ne baisse qu’à partir de 85 ans
- Santé Publique France , HAS : le vaccin a servi de « traitement » aux patients âgés de plus de 84 ans pour limiter les formes graves mais sans empêcher la transmission de la COVID
- INSEE : mortalité de l’année 2022 est supérieure à celles de 2020 & 2021
- INSEE : l’écart à la prévision de la mortalité en 2022 est supérieur à celles de 2020 & 2021
- Impact collatéral de la prise en charge de la COVID 19 sur la santé globale des patients :
- ANSM: effets 2aires immédiats de la vaccination en France : 169 557 cas au 16/06/22 dont 24% de cas graves (a priori sous-estimé comme tous les effets secondaires)
- OMS : augmentation des maladies psychiatriques notamment chez les enfants
- DREES : augmentation des suicides notamment chez les jeunes
OMS : retard de prise en charge de nombreuses pathologies notamment en cancérologie et en cardiologie
- Lits de soins intensifs, lits de réanimation et lits de surveillance continue
- Confusion fréquente entre ces catégorisations notamment par la DRESS, SPF et l’ARS IDF
- La DREES annonce 19 600 lits en soins critiques alors que la saturation annoncée concernait uniquement les 5 400 lits de réanimation
- ATIH : la seule statistique augmentée en 2020 par rapport à 2019 est celle des soins en réanimation, les patients COVID représentant 11% des patients et 19% des journées réanimation
- Discordance des chiffrages des lits de réanimation occupés: discordance importante notée entre les chiffres de SPF et ceux des hôpitaux & cliniques dans les Alpes Maritimes
- Mise à l’écart des médecins libéraux dans la décision d’hospitalisation et absence de données fiables sur les critères d’hospitalisation ou justifiant l’entrée en réanimation
- Livre Blanc PACA : les médecins libéraux face à la COVID-19 : dès le 17 mars 2020, l’activité non urgente a été déprogrammée et les lits désarmés, réduisant l’activité des établissements privés et des praticiens libéraux de 90%
- Livre Blanc PACA : les médecins libéraux face à la COVID-19: absence totale des professionnels de santé du monde libéral au sein des ARS
- Livre Blanc PACA : les médecins libéraux face à la COVID-19: malgré 130 missions réalisées de mars à mai 2020 par les membres de l’URPS ML PACA, aucune des propositions organisationnelles présentées n’a été retenue
- Absence de données fiables scientifique sur les critères d’hospitalisation ou qui justifiaient l’entrée en réanimation :
- Critères d’admission et modalités de prise en charge en réanimation en contexte pandémique : Position de la Commission d’Ethique de la Société de Réanimation de Langue Française du 20 Mars 2020
- Critères d’hospitalisation du patient atteint de COVID-19 (Conseil Scientifique Luxembourg)
- Critères d’admission et modalités de prise en charge en réanimation en contexte pandémique (Société de Réanimation de Langue Française)
- Décision d’admission des patients en unités de réanimation et unités de soins critiques dans un contexte d’épidémie à Covid-19 (ARS IDF)
- Mise à l’écart de l’hospitalisation privée qui, contrainte d’annuler une bonne partie de son programme opératoire pour libérer des lits, s’est retrouvée avec un grand nombre de lits inoccupés
Absence de coordination territoriale des soins : la déprogrammation des soins décidée en mars 2020 s’est traduite pour le secteur privé par une baisse d’activité générale (50% de chirurgie lourde) avec un grand nombre de lits restés inoccupés.
La réanimation est une activité essentiellement publique : la FHP (Fédération de l’Hospitalisation Privée) dénonce le fait que des patients ont été accueillis en mode dégradé dans les hôpitaux publics surchargés ou transférés alors que des places étaient disponibles en cliniques et hôpitaux privés.
Les ARS, chargées de piloter la prise en charge des patients ont privilégié dans un premier temps les structures disposant d’un service d’urgence et qui accueillent un siège du SAMU, choix excluant de fait les cliniques et hôpitaux privés.
- Absence de statistiques fiables entre les hospitalisés du COVID et les hospitalisés avec COVID :
ATIH : 218 000 patients ont été hospitalisés en 2020 pour prise en charge de la Covid-19
Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels fin 2023 : c’est la seule donnée fiable trouvée avec références ; GEODE (SPF) et l’INSEE annonçaient tous les deux des chiffres différents mais leurs données ne sont plus consultables.
Le jeu des codages, tendant à favoriser les déclarations pour COVID par incitation financière, ont pu biaiser les statistiques (par exemple, les hôpitaux ont pu classer les malades dans le GHM 04M07, séjour en COVID-1 tarifé 2 208 € la journée au lieu du Groupe Grippes tarifé 1 007 €).